Les « rage rooms », populaires pour leur concept de défoulement en cassant des objets, attirent des profils variés cherchant à libérer des tensions accumulées, similaire à une activité sportive intense qui libère des hormones de bien-être telles que la dopamine et les endorphines. Toutefois, selon la neuropsychologue Cathy Assenheim, ces séances doivent rester ponctuelles pour éviter de traiter des émotions dysfonctionnelles de manière inappropriée.