Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), touchant environ 15 % des femmes en âge de procréer, reste méconnu malgré ses conséquences significatives sur la fertilité et l’estime de soi. En réponse, le gouvernement prévoit un check-up de la fertilité à 20 ans pour détecter précocement cette affection, comme annoncé par Prisca Thevenot, porte-parole et elle-même atteinte du SOPK.