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Le ministre de la Santé s’alarme de la nouvelle poudre énergisante « Sniffy »
Le ministre de la Santé, Frédéric Valletoux, a récemment découvert l’existence de ** »Sniffy »**, une poudre énergisante dont le mode de consommation rappelle celui de la cocaïne. Lors d’une intervention sur France Info, il a exprimé son indignation face à cette invention qu’il a qualifiée de « cochonnerie », promettant de prendre des mesures pour en interdire la commercialisation. Valletoux a également critiqué les discours qui présentent cette poudre comme inoffensive, soulignant les risques de banalisation du geste de **sniffer** et la potentielle attraction pour les jeunes.
Les buralistes alertent les autorités
La **confédération des buralistes**, chargée de distribuer le produit, a rapidement réagi en dénonçant cette nouvelle poudre énergisante. Sur leur page Facebook, les buralistes ont mis en garde contre les « lourdes conséquences » liées à la commercialisation de « Sniffy ». En outre, ils ont fait savoir qu’ils ne souhaitaient pas cautionner sa vente, soulignant l’impact négatif que cela pourrait avoir sur l’éthique de leur réseau. Ils ont également saisi les autorités pour les alerter de la menace représentée par ces produits à inhaler.
Les dangers de la poudre « Sniffy » selon les spécialistes
Des experts en santé, dont Bernard Basset, médecin spécialiste en santé publique et président de l’association **Addictions France**, ont exprimé leurs préoccupations concernant « Sniffy ». Le principal problème, selon eux, réside moins dans la composition de la poudre que dans sa promotion, qui évoque une **cocaïne décocaïnée**. Basset a particulièrement critiqué l’emballage attractif et les différentes saveurs sucrées et acidulées de la poudre, estimant qu’elles pourraient attirer les jeunes vers ce produit potentiellement dangereux.
Sujet | Points Clés |
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Découverte de Sniffy | Frédéric Valletoux découvre la poudre et veut l’interdire |
Réponse des Buralistes | Dénonciation et refus de vente |
Opinion des spécialistes | Critique de la banalisation du geste et des saveurs sucrées |
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